Abstrait

Un modèle animal de jeu humain basé sur le choix sous-optimal des pigeons

Thomas R Zentall

Lorsque les humains jouent, ils choisissent un résultat qui a une valeur élevée mais une faible probabilité d'occurrence plutôt qu'un résultat plus favorable à forte probabilité mais de valeur inférieure (pas de jeu). De même, les pigeons montrent une préférence pour une alternative qui fournit occasionnellement un signal de renforcement plutôt qu'une alternative plus optimale qui fournit toujours un signal de probabilité de renforcement plus faible. Deux mécanismes semblent être responsables de ce comportement sous-optimal : le signal de non-renforcement (perte) semble entraîner peu ou pas d'inhibition et la probabilité du signal de renforcement est relativement peu importante. Le comportement de jeu humain semble être contrôlé par des mécanismes similaires. De plus, nous avons constaté que comme pour le jeu humain, les pigeons qui sont plus motivés à gagner choisissent de manière moins optimale. De plus, les pigeons exposés à un environnement enrichi choisissent de manière plus optimale que ceux qui sont normalement hébergés. Comme chez les humains, les différences individuelles d'impulsivité chez les pigeons prédisent l'attirance des pigeons pour l'alternative sous-optimale. Ces résultats peuvent avoir des implications pour le traitement des humains qui ont des problèmes de comportement de jeu.

Avertissement: Ce résumé a été traduit à l'aide d'outils d'intelligence artificielle et n'a pas encore été examiné ni vérifié