Rakesh Kumar*
Français Des données ont été collectées en 2014-2015 et 2015-2016 auprès de 120 petits agriculteurs de 12 villages sélectionnés au hasard dans les districts d'Amritsar et de Gurdaspur au Pendjab, en Inde, pour évaluer les performances de diverses rotations de cultures à base de légumineuses, à savoir : riz-blé-moong/mash d'été (rotation des cultures basée sur les légumineuses d'été (SPBCR1)), riz-canne à sucre-moong/mash d'été (rotation des cultures basée sur les légumineuses d'été (SPBCR2), arhar-blé (rotation des cultures basée sur les légumineuses principales (MPBCR3)), riz-lentille (rotation des cultures basée sur les légumineuses principales (MPBCR4)), arhar-lentille (rotation des cultures basée sur les légumineuses-légumineuses (PPBCR5) par rapport à la rotation des cultures existante non basée sur les légumineuses, c'est-à-dire le système de culture riz-blé comme (rotation des cultures non basée sur les légumineuses (NPBCR6)). Le rendement équivalent en riz dans SPBCR1 (129,42 q/ha) et SPBCR2 (126,58 q/ha) a été trouvé statistiquement au pair mais observé significativement plus élevé par rapport à toutes les autres rotations de cultures. Le rendement équivalent en riz dans NPBCR6 (99,28 q/ha) a été significativement plus élevé que dans MSPBCR3 (87,43 q/ha), MSPBCR4 Français (87,20 q/ha) et PPBCR5 (68,52 q/ha), rendements bruts (185 063,46 Rs/ha), rendements nets (118 116,83 Rs/ha), rentabilité des cultures (334,58 Rs/ha/jour) et rentabilité du système (323,61 Rs/ha/jour) par rapport à tous les autres systèmes de culture. Le rapport coûts-bénéfices était significativement plus élevé dans MSPBCR3 (1,99) que dans toutes les autres rotations de cultures et SPBCR1 (1,76), MSPBCR4 (1,74) et PPBCR5 (1,66) ont enregistré un rapport coûts-bénéfices significativement plus élevé que NPBCR6 (1,55). Français Parmi les divers problèmes rencontrés par les petits exploitants dans la culture des légumineuses, la faible production et productivité, le faible prix du produit sur le marché, les problèmes de commercialisation, la non-disponibilité de variétés adaptées et le coût élevé de la culture ont été classés respectivement au premier rang (65,28 %), au deuxième rang (57,98 %), au troisième rang (56,31 %), au quatrième rang (55,83 %) et au cinquième rang (51,44 %). Les autres problèmes tels que les conditions météorologiques imprévisibles, les fluctuations importantes des prix, le manque de mécanisation des récoltes, le grand nombre de ravageurs et de maladies et le manque de main-d'œuvre, etc., ont été jugés importants avec moins de 50 pour cent de la valeur moyenne.