Abstrait

Évaluation du déficit hydrique dans les variétés d'orge de printemps du nord-ouest de l'Iran

Sediqe Mahmoodpur, Ali Reza Eivazi, Kamalsadat Asilan et Cirous Mansourifar

Une expérience a été menée pour évaluer les effets du déficit hydrique à différents stades de croissance des variétés locales d'orge de printemps dans des conditions de terrain. Une expérience en parcelles divisées a été menée sur la base d'un dispositif en blocs complets randomisés avec trois répétitions. Trois niveaux d'irrigation comprenant des irrigations optimales et de perturbation à l'élongation de la tige et à l'épiaison ont été disposés en parcelles principales et à peine des variétés locales portant les noms d'Abdolalikandy, Bastam, Sefid, Seyah, Shin, Hashtpar et Bayramghalasi ont été placées dans des sous-parcelles. Différents niveaux d'irrigation et différentes variétés locales d'orge pour les caractères mesurés ont montré des différences statistiquement significatives. Le rendement en grains sous des irrigations optimales et de perturbation à l'élongation de la tige et à l'épiaison était respectivement de 161,14 g/m2, 99,8 g/m2 et 128,0 g/m2. Français Les races locales Shin et Hashtpar avec le rendement en grains le plus faible 88,75 g/m2 et 95,91 g/m2 et les quantités les plus faibles de TOL 12,5, 0,59 et SSI 5,0, 0,75 aux deux stress étaient tolérantes au déficit d'humidité. Le rapport épi/m2 est resté aux modèles finaux dans l'analyse de régression à deux déficits d'humidité. Dans l'analyse des composantes principales, les trois premières composantes expliquaient plus de 91 % de la variance totale, appelées respectivement rendement en grains, composantes physiologiques et morphologiques. Le rendement en grains était positivement corrélé de manière significative avec l'épi/m2 sous des irrigations optimales et disruptives à l'élongation de la tige et à l'épiaison avec 0,94**, 0,90** et 0,94**, respectivement. Dans les deux stress, les indices STI, MP, GMP et HAR avaient une corrélation positive significative avec le rendement en grains. De plus, l'épi/m2 et la hauteur de la plante avaient les effets les plus directs sur le rendement en grains 0,84 et 0,29, respectivement.

Avertissement: Ce résumé a été traduit à l'aide d'outils d'intelligence artificielle et n'a pas encore été examiné ni vérifié

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